Bien choisir son huile essentielle

Par Odile

 

Bien choisir son huile essentielle

 

 

 

 

Devant le marché très étendu des huiles essentielles il est souvent difficile de faire son choix pour reconnaître un produit respectueux.

La démarche la plus simple et de lire l'étiquette sur un flacon d'huile essentielle avant de l'acheter de nombreuses informations doivent y figurer Pour garantir les propriétés du produit, il suffit de bien lire les étiquettes. Il existe certaines mentions obligatoires qui doivent y figurer. Vous pourrez ainsi acheter un produit de qualité.

 

 

 

Le nom usuel de la plante : par exemple Menthe poivrée et sa dénomination botanique en latin : Mentha Piperita (écrit en Italique). Le latin set le langage botanique utilisé de manière universelle pour la reconnaissance des plantes. Le consommateur peut être ainsi sûr du type de plante contenu dans le flacon.

 

La mention 100% pure et naturelle : soyez vigilant(e) pour ne pas acheter un produit qui peut être coupé ou mélangé, perdant ainsi toutes ces propriétés

 

La partie de la plante utilisée : les propriétés d'une huile essentielle varient selon que les principes actifs sont extraits des feuilles, des fleurs, des tiges, des racines, de l’écorce, des zestes.

Afin de bénéficier de toutes les vertus thérapeutiques, repérez la partie de la plante indiquée sur l'étiquette.

 

Le procédé d'extraction : pour d'être sûr que la mention « huile essentielle » est réel. Parmi les techniques disponibles pour obtenir une huile essentielle à partir d'une plante, on peut trouver : la distillation à la vapeur d'eau ou l'expression à froid mécanique notamment pour les agrumes et l'enfleurage pour les fleurs.

 

 L'origine géographique de la plante : selon les régions ou les continents dans lesquelles ont été récoltées les plantes, la qualité du produit varie en fonction du climat et de son exposition. Une huile essentielle de thym originaire de la Provence, de la Corse ou de l'Italie contiendra des vibrations différentes en fonction de son exposition, de l’environnement qui modifieront sa composition.

 

Le chémotype (CH) : il s'agit de la carte d'identité de la plante. C'est la liste précise de la ou des molécules majoritaires actives biochimiquement. C’est aussi la sous-catégorie chimique d'une huile essentielle au sein d'une même espèce de plante c'est-à-dire sa variété.

Certains flacons ne vont pas préciser la variété de la plante ; par exemple si on lit sur une étiquette « huile essentielle d'eucalyptus » on ne peut absolument pas savoir si c'est un eucalyptus qui peut bénéficier aux voies respiratoires hautes ( radiata), basses (globulus) ou au système articulaire (citriodora).

On peut trouver aussi « BBD » c'est-à-dire l'huile essentielle botaniquement et chimiquement définie comme gage de qualité

 

Le mode de culture : le label bio n’est pas le seul à garantir la fiabilité du produit. Les cueillettes sauvages ou les petits producteurs sans le label bio produisent des huiles essentielles tout à fait honorables. On le préférera le label bio pour les cultures conventionnelles.

 

 De la durée de conservation et le numéro du lot : il est inscrit DDM (date de durabilité minimale) qui nous indique que si l'huile essentielle est correctement conservée, elle peut encore être utilisée au-delà de la date mentionnée. Le libellé DLC et indique quant à lui, la date limite de conservation.

 

 La quantité du produit : il est obligatoire de signaler la quantité nette de produit en millilitres ou milligrammes sur les flacons.

 

Pour vos prochains achats, ouvrez l'oeil!

 

A suivre..